Libération, 5 novembre 2012.
« Nous prenons la parole pour intervenir dans le débat à propos du Théâtre Paris-Villette parce qu’il est des moments où il est nécessaire de rappeler à la puissance publique (et nous parlons ici de tous les acteurs concernés par la pérennité de la vie théâtrale en France, notamment l’Etat et les collectivités territoriales) qu’il y a certaines lignes jaunes qu’elle ne peut impunément franchir sans, soit assumer un recul sans précédent dans le mouvement artistique, soit avoir l’intelligence de reculer face à une décision hâtive et maladroite. » Suite
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