« C’est l’histoire de deux frères, Théophile, 24 ans, handicapé depuis la naissance, sourd, muet
et presque aveugle et Valentin, de quatre ans son aîné. Ce dernier, frustré de ne pouvoir vivre
pleinement sa relation avec son frère, décide de former avec lui une équipe de triathlètes pas
comme les autres. Ensemble, ils viennent de participer au triathlon de Cergy
Pontoise (95). Marie-Christelle Maury les a suivis lors de leur préparation et pendant la course
afin de mettre en lumière l’amour de ces deux frères réunis par le sport. » (Ajoutée le 14 juin 2015)
vendredi 4 septembre 2015
Rien sur Bagouet et Hijikata (Trajal Harrell, "Le Fantôme de Montpellier rencontre le Samouraï")
(haut) Vue de la scénographie avant le début de la représentation, (milieu) Prise de parole de Trajal Harrell (en rouge) en préambule (traduite par Thibault Lac), (bas) La représentation est terminée, le temps des saluts; Photos Fabien Rivière ©
Le Fantôme de Montpellier rencontre le Samouraï (The Ghost of Montpellier Meets the Samourai) que présente le New Yorkais Trajal Harrell est une commande de Jean-Paul Montanari, directeur du Festival Montpellier Danse, où elle a été créée en juin dernier au théâtre de l'Agora (en plein air), qui souhaitait une production consacrée au danseur et chorégraphe Dominique Bagouet (1951 - 9 décembre 1992).
De son côté, Trajal Harrell s'intéressant au danseur et chorégraphe japonais fondateur du butô Tatsumi Hijikata (1928-1986), voici donc un spectacle consacré à leur rencontre (imaginaire) à New York.
La pièce précédente, Twenty Looks or Paris is Burning at The Judson Church - The Series (2009-2013), abordait la rencontre tout aussi imaginaire entre les « performeurs de la post-modern dance (Judson Church) avec les égéries du voguing. »
Bagouet ayant dirigé le centre chorégraphique de Montpellier de 1980 jusqu'à sa mort, et Hijikata étant japonais, va pour le (beau) titre : Le Fantôme de Montpellier rencontre le Samouraï.
C'est la seule bonne idée, car, à part inventer un rendez-vous entre les deux protagonistes dont il ne sort strictement rien, Trajal Harrell n'a rien à dire des deux créateurs. En conférence de presse (ici), il a évoqué leurs morts prématurées, expliquant qu'il a passé beaucoup de temps dans les archives à Tokyo où il va au moins deux fois par ans et discutant avec des danseurs qui ont connu Hijikata. Cependant, il a précisé qu'il ne fait pas de la recherche pour apprendre des choses sur les personnes, mais pour oublier, souhaitant explorer l'impossible. Officiellement, dans le programme il déclare : « “Introduire aux mythologies de ces personnages et les dépasser est un autre défi”. (...) “Je pars de l’imagination historique. L’histoire est pleine de trous et de lacunes et je travaille entre, pour dire surtout ce qu’est la passion pour l’art”. »
À vrai dire, une vaine branchitude, une arrogance certaine et du bavardage ne suffisent pas à remplir un plateau. En préambule, le chorégraphe prend la parole et entend défendre l'importance de l'art dans la société. On peut être d'accord avec lui sur le fond, mais la façon de s'y prendre est pour le moins maladroite (arrogante ?) où une élite artiste serait en droit d'exiger de la société des moyens (en ayant l'air d'ignorer et de se moquer de la réalité pratique d'une société en crises). Ce n'est pas de cette manière que l'on défend une cause juste.
Fabien Rivière
Ghost Velasquez Group, Photo Orpheas Emirzas
Trajal Harrell (USA) Le Fantôme de Montpellier rencontre le Samouraï (The Ghost of Montpellier Meets the Samurai)
Centre Pompidou - Paris, Du mercredi 14 au samedi 17 octobre 2015. En savoir +
Festival Montpellier Danse, jeudi 25 et vendredi 26 juin 2015. En savoir +
Ghost Velasquez Group, Photo Orpheas Emirzas
jeudi 3 septembre 2015
Édouard Lock dissout La La La Human Steps
Édouard Lock annonce la dissolution de sa compagnie,
Capture d'écran Espaces Magnétiques
Lors d'une conférence de presse tenue à Montréal le chorégraphe Édouard Lock a officialisé la dissolution de la compagnie qu'il a fondé en 1980, La La La Human Steps, qui se débattait dans de graves problèmes financiers. En 2009, la compagnie a déjà failli mettre la clef sous la porte. Édouard Lock : « Moi même j'ai sorti trois prêts sur ma maison. (...) J'ai du vendre la maison pour essayer d'assurer que la fonctionnement [de la compagnie] puisse continuer. » Il est question d'une dette de plus d'un million de dollars [canadiens ; 671.100 €; 1 $ US = 1,32692 $ canadien] (source : excellent reportage télé de Radio Canada, visible ICI - couper le son avant le reportage à cause de la publicité)
La compagnie a publié sur son site internet un long texte, que nous reproduisons en fin d'article, où elle explique notamment :
« La générosité d'une grande partie de nos créanciers a permis de réduire considérablement la dette de la troupe, mais les coupes qui ont suivi et la décision de ne nous offrir aucune garantie financière dépassant l'année en cours ne nous autorisaient plus à poursuivre nos activités. Ma lettre de démission a d'ores et déjà été envoyée à nos bailleurs de fonds et une résolution du conseil d'administration actant la dissolution de la compagnie a été signée. LA LA LA Human Steps n'est plus. Le moment est donc venu d'offrir mes nombreux remerciements et de prendre congé. »
Par ailleurs, Radio Canada analyse :
« La générosité d'une grande partie de nos créanciers a permis de réduire considérablement la dette de la troupe, mais les coupes qui ont suivi et la décision de ne nous offrir aucune garantie financière dépassant l'année en cours ne nous autorisaient plus à poursuivre nos activités. Ma lettre de démission a d'ores et déjà été envoyée à nos bailleurs de fonds et une résolution du conseil d'administration actant la dissolution de la compagnie a été signée. LA LA LA Human Steps n'est plus. Le moment est donc venu d'offrir mes nombreux remerciements et de prendre congé. »
Par ailleurs, Radio Canada analyse :
« La dernière création de la troupe s'est avérée un casse-tête financier pour ses administrateurs. Le rodage a été marqué par des problèmes de location de salle à Montréal et par de nombreuses blessures chez les danseurs. La faiblesse du dollar face à l'euro et l'incertitude financière de la troupe, dont 30 % du budget provient de l'aide gouvernementale, ont affecté sa compétitivité par rapport aux productions européennes.Édouard Lock, qui a notamment mis en vente sa demeure pour maintenir la compagnie à flot, a opté pour des ententes de gré à gré avec ses créanciers plutôt que la faillite.« Nos productions sont dispendieuses. Le salaire de nos danseurs est de 62 000 $ [41 607,51 €, soit 3.467,29 €/mois] par année, ce qui est supérieur à beaucoup de compagnies au pays. Je ne voulais pas m'accrocher et tenter de survivre. Dans la dernière année, j'ai fait cinq productions, je suis encore très inspiré. »
La question qui se pose est, nous semble-t-il, celle du modèle économique de la compagnie, que le chorégraphe n'a pas voulu modifier. Des productions (trop ?) chères, un (trop ?) grand nombre de productions par an (5), le salaire (trop ?) élevé de tous les membres de la compagnie (et pas uniquement celui des danseurs) et le (trop ?) grand nombre de membres de la compagnie, sans même parler des (trop) nombreuses blessures des danseurs. Nous parlons par rapport à la "norme" (ou pratique, pour être précis) nationale d'un pays. Quelle était la capacité des administrateurs de dire non aux exigences du chorégraphe ?
Fabien Rivière
DOCUMENT
Nous reproduisons le texte complet que la compagnie La La La Human Steps (LHS)
a publié sur son site internet ICI, en ajoutant de la couleur pour aider à la lecture
LHS
Juin 1980 Juin 2015
La route fut longue mais belle. Une multitude de souvenirs aux variantes hors normes. Trente-cinq années de formidables paradoxes. Aujourd'hui l’aventure arrive à son terme. J’annonce ma démission de mes fonctions de chorégraphe et de directeur artistique de LA LA LA Human Steps, fonctions qui auront été durant toutes ces années un immense privilège. La dernière tournée fut difficile financièrement. La générosité d’une grande partie de nos créanciers a permis de réduire la dette considérablement, mais les coupes qui ont suivi et la décision de n’offrir aucune garantie financière dépassant l'année en cours ne nous autorisaient plus à poursuivre. Ma lettre de démission a d’ores et déjà été envoyée à nos bailleurs de fonds et une résolution du conseil d’administration actant la dissolution de la compagnie a été signée. LA LA LA Human Steps n’est plus. Le moment est donc venu d’offrir mes nombreux remerciements et de prendre congé.
Cela a été un cheminement stupéfiant. Jamais je n’aurais prédit un tel destin le 10 juin 1980 lors de la première de Lily Marlène au Théâtre de l’Eskabel. De cette petite salle du quartier ouvrier de Saint-Henri à l’immense scène du Kremlin. Du Kitchen dans le SoHo new-yorkais des années 80 au Palais Garnier, Place de l’Opéra. Plus de 275 théâtres, tous ancrés dans leur époque, tous porteurs d’œuvres. Au fil des ans, dans la pénombre des théâtres visités, je n’ai pu rencontrer pleinement les publics pour lesquels j’ai eu le grand privilège de créer. Même s’ils resteront à tout jamais d’intimes inconnus, l’histoire et l’identité de la compagnie demeureront avant tout dans le souvenir vivant de ces publics.
Ma reconnaissance est grande d’avoir partagé ce voyage durant toutes ces années avec des artistes doués d’un tel talent. Du pop hindou à une déconstruction d’Orphée, à une partition tendrement construite autour de paroles de Lou Reed : la diversité de la musique et sa qualité, insufflée au fil des ans par chacun des compositeurs avec qui j’ai eu la chance de collaborer embrassent et enserrent des moments uniques de la compagnie et du parcours de son temps. Les artistes visuels dont les œuvres suspendues dans le sombre encadraient nos plateaux avec leurs dentelles échevelées et leurs formes d’ombre me permettaient d’admirer une danse d’un autre genre. Les gens du cinéma qui ont aidé mes chorégraphies à migrer vers de nouveaux horizons et vers des nouvelles terres et qui m’ont aidé à faire danser des corps en lumière. Cette conceptrice qui a su couvrir les corps d’un souffle de textures et de formes et dont les créations couture encadraient les danseurs et leurs danses pendant 23 ans. Ces éclairagistes qui m’ont fait redécouvrir ce que les dessins de mon père m'avaient déjà appris : les formes se dévoilent avec plus de franchise dans les ombres. Les musiciens qui dansaient avec nous instruments en mains et qui ont su analyser avec rigueur des compositions complexes pour pouvoir ensuite les livrer avec passion comme si elles émergeaient d’eux au moment du jeu. À tous ces artistes, un énorme merci. Aux danseurs, que dire? Leur danse les a vêtus d’un mystère que seule la beauté la plus fragile mérite. À ces artistes du mouvement qui ont su dessiner avec intelligence et avec grâce un sentier si unique durant toutes ces années j’exprime ma gratitude la plus profonde.
Je tiens également à exprimer ma reconnaissance aux gens et aux organisations qui nous ont accompagnés et appuyés le long de ce parcours : aux trois Conseils des arts (CAC, CALQ, CAM) qui ont subventionné la compagnie durant ces décennies, à mesure que nos idées apparaissaient, progressaient et prenaient forme et sans qui rien n’aurait été possible. À tous les membres du conseil d’administration qui se sont joints à nous sans faire le compte des heures et des années et qui ont si généreusement contribué en biens et aux bilans des idées. Aux producteurs, portes d’entrée de nos tournées mondiales, qui ont continué à chérir les mêmes idéaux que ceux des artistes qu’ils présentaient : le choc des idées et le goût du risque. Aux auteurs et aux critiques qui ont commenté les performances et qui ont offert leurs réflexions sur mon travail : leurs contributions continueront à faire partie de l’histoire de la compagnie, du chemin parcouru et des souvenirs que j’en garderai. Et finalement aux directions administratives qui ont vécu de grandes solitudes loin des théâtres et proches des soucis, leur maîtrise de l'art du quotidien et leur courage ont permis aux artistes de rêver et de faire rêver.
Merci infiniment au public montréalais pour ces années inoubliables. Je porterai en moi ces souvenirs dans toutes mes futures aventures chorégraphiques.
À mes collègues d’ici, je souhaite inspiration, passion et succès.
DANSEURS Bernardus Bartels, Marc Béland (1983-88), Andrea Boardman (2000-09), Pim Boonprakob, Amy Brogan, Diego F. Castro. Xuan Cheng, Carole Courtois, Yvonne Cutaran, Mi Deng, Michael Dolan, Talia Evtushenko (2007-13), Rick Gavin Tjia (1993-99), Monique Girard, Claude Godin (1983-87), Louis Guillemette (1980-84), Mirko Hecktor, Mistaya Hemingway (2000-10), Keir Knight (2000-10), Liza Kovacs, Ken Larson, Sarah Lawrey, Louise Lecavalier (1982-08), Jacqueline Lemieux, Manon Levac, Chun Hong Li, Francine Liboiron, Bernard Martin (2000-10), Miryam Moutillet (1980-1984), Sandra Mühlbauer, Marito Olsson-Forsberg, Grace Anne Powers, Fabien Prioville, Guillaume Pruneau, Lawrence Rabson, Rosa Royo, Alejandra Salamanca Lopez, Dominic Santia, Jason Shipley-Holmes (1998-12), Stephanie Slater, William Lee Smith (2000-12), Naomi Stikeman (1997-00), Zofia Tujaka (1997-12), Márcio Vinícius Paulino Silveira, Diana Vishneva, Donald Weikert (1987-97), Sarah Williams, Kai Zhang COMPOSITEURS David Bowie. Normand Pierre Bilodeau, Gavin Bryars, Yves Chamberland, Blake Hargreaves, Konrad Kinard, David Lang, Michel Lemieux, My Bloody Valentine (Kevin Shields), Einstürzende Neubauten (Blixa Bargeld, Marc Chung, F. M. Einheit) Iggy Pop, Shellac of North America (Steve Albini), Skinny Puppy, Rober Racine, David Van Tiegham, West India Company (Stephen Luscombe, Pandit Dinesh), Frank Zappa MUSICIENS Frederike Bedard, Asha Bhosle, Denis Bonenfant, Alexandre Castonguay, Anne-Marie Cassidy, Jérôme Charles, Simon Claude, Jackie Gallant, Priya Khajuria, Kong Kie Njo, Michel Lemieux, Jean-Christophe Lizotte, Stephen Luscombe, Nadine Medawar, Jean-Claude Patry, Sylvain Provost, Robert Racine, Jennifer Thiessen, Ida Toninato ÉCLAIRAGES Timothy Crack, Pyer Desrochers, Louis Douville, Noël Douville, Sylvie Galarneau, Robert Greene, Edouard Lock, Alain Lortie, Axel Morgenthale, John Munro, Peter Williams, Scott Windsor COSTUMES Luc Dussault, Liz Vandal SCÉNOGRAPHES Louise Campeau, Louis Douville, Luc Dussault, Charles Fisch, Guy Lalande, Danielle Lévesque, Christian Rizzo, Stéphane Roy, Armand Vaillancourt RÉPÉTITEURS France Bruyère, Hua Fang Zhang, Shawn Hounsell, Reynald Rabu, Jean-Hughe Rochette LIEUX ALLEMAGNE Berlin (Hebbel Theater, Komische Oper, Haus des Berliner Festpiele, The Philharmonie) Cologne (Schauspielhaus) Dortmund (Schauspielhaus) Dresde (Schauspielhaus) Düsseldorf (Opernhaus, Tanzhaus) Francfort (Alte Oper, Schauspiel Frankfurt, Opernhaus Fürth Stadttheater) Hambourg (Kampnagel) Hanovre (Theater am Aegi, Staatstheater Hannover) Helbronn (Heilbronn Theater) Karlsruhe (Kulturzentrum Tollhaus Karlsruhe) Kassel (Staatsstheaters Kassel) Leverkusen (Forum) Ludwigsburg (Theater im Forum) Ludwigshafen (Theater im Pfalzbau) Münich (Alabama-Halle, Deutsches Theater, Prinzregententheater) Neuss (Stadthalle) Oldenburg (Oldenburgisches Staatstheater) Remscheid (Theater der Stadt, Teo Otto Theater) Weimar (Deutsches Nationaltheater) Wuppertal (Opernhaus) AUSTRALIE Adelaide (Her Majesty’s Theatre) Brisbane (Lyric Theatre, Queensland Perf. Arts Complex) Perth (His Majesty’s Theatre) Sydney (Everest Theatre) AUTRICHE Bregenz (Festspielhaus) Innsbruck (Dogana Hall) Linz (Posthof) Salzbourg (Stadtkino, Perner-Insel, Szene Salzburg) Vienne (Wiener Secession, Volkstheater, Burgtheater, The Vienna Konzerthaus) BELGIQUE Anvers (deSingel) Bruges (Stadsschouwburg Brugge, Concertgebouw Brugge) Charleroi (Palais des beaux-arts) Gand (Vlaamse Opera) Hasselt (C.C. Hasselt) Liège (Festival du Jeune Théâtre) Louvain (Klapstuck) Mons (Salle du Téâtre Royal) Turnhout (C.C. de Warande) BRÉSIL Porto Alegre (Teatro do Sesi) Rio (Teatro Municipal) Sao Paulo (Teatro Municipal, Teatro Sergio Cardoso, Teatro Alfa) CANADA Amos (Théâtre des Eskers) Banff (Banff Centre Theatre) Calgary (Dancers’ Studio West, Centre for the Perf. Arts, Performing Arts Center, Jubilee Auditorium) Chicoutimi (Auditorium Dufour) Edmonton (University of Alberta, Students’ Union Theatre, Sub Theatre, Jubilee Auditorium) Halifax (Rebecca Cohn Auditorium) Kingston (The Grand Theatre) Montréal (Théâtre de l’Eskabel, Musée d’Art Contemporain, Théâtre Conventum, Le Rialto, Le Spectrum, Théâtre du Nouveau Monde, Théâtre Maisonneuve, Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts) Lennoxville (Centennial Theatre) Ottawa (Centre National des Arts) Québec (Institut Canadien, Grand Théâtre) Red Deer (Red Deer College) Regina (Saskatchewan Centre) St. Catherines (Brock Centre for the Arts) Sept-Îles (Théâtre de Sept-Îles) Sherbrooke (Salle Maurice O’Bready) Toronto (Harbourfront (Brigantine Room), Premiere Dance Theatre, Danforth Music Hall Theatre, St. Lawrence Center, O’Keefe Center, Hummingbird Centre) Vancouver (Simon Fraser University, East Cultural Centre, Vancouver Playhouse, Queen Elizabeth Theatre, The Center for the Performing Arts) Winnipeg (Concert Hall) CHINE Hong Kong (Academy for Performing Arts Lyric Theater) CORÉE DU SUD Séoul (LG Arts Center) DANEMARK Copenhague (Musikteatret Albertslund) ESPAGNE Barcelone (Théâtre Grec, Mercat de les Flors) Bilbao (Arriaga Theatre) Madrid (Teatro de Madrid, Teatro del Canal) Séville (Teatro Italica, Teatro Central) Olite (Recinto Festivales) Valence (Parco de Riveros, Comédie de Valence) ÉTATS-UNIS Boston (Boston Shakespeare Theatre, Dance Umbrella) Chicago (The Chicago Music and Dance Theatre) Iowa City (Hancher Auditorium) Irvine (Irvine Barclay Theatre) Los Angeles (Royce Hall, Wiltern Theatre) Missoula (University of Montana) New-York (The Kitchen, The Performing Garage, Dance Theatre Workshop Bessie Schönberg Theater, Brooklyn Academy of Music) Philadelphia (Kimmel Center) Pittsburgh (Benedum Center) Pullman (Washington State Univesity) San Francisco (New Performance Gallery, Yerba Buena Center for the Arts) Santa Barbara (Granada Theater) Seattle (Washington Hall, Moore Theatre) FINLANDE Helsinki (City Theatre) FRANCE Angers (Théâtre municipal) Angoulème (Théâtre de Angoulème) Annecy (CAC de la Région ancienne, Bonlieu-Scène nationale) Bordeaux (Conservatoire national, Salle J. Thibaud, Théâtre National de Bordeaux) Caen (Théâtre de Caen) Cannes (Palais des Festivals) Châlon-sur Saône (Espace des Arts) Châlons-en- Champagne (Théâtre du Muselet, La Comète Scène Nationale) Clermont-Ferrand (La Comédie de Clermont Scène Nationale) Dijon (Le Duo, Auditorium de Dijon) Épinal (Parc des expositions) Frouard (Théâtre Gérard-Philippe) Tarbes (Le Parvis, Centre le Méridien) La Rochelle (La Coursive) Le Harve (Le Volcan) Lille (Salle du CAC) Lyon (Maison de la danse) Marseille (Théâtre du Merlan) Martigues (Théâtre des Salins) Metz (Théâtre de Metz) Montpellier (Opéra Berlioz, Le Corum) Mulhouse (La Filature) Narbonne (Scène Nationale de Narbonne) Nîmes (Théâtre Verdure) Ollioules (Centre de Châteauvallon) Paris (Centre Culturel Américain, Théâtre de la Bastille, Théâtre de Bobigny, Palais Garnier, Théâtre de la Ville) Rennes (Maison de la Culture) Rouen (Hangar 23, Théâtre des Arts, Opéra de Rouen / Haute Normandie) Saint-Étienne (Maison de la Culture, Grand Théâtre Massenet) Strasbourg (Le Maillon) Toulouse (Théâtre National de Toulouse) GRÈCE Athènes (Megaro Mousikis Athinon) Thessalonique (Macedonian Studies Theatre) HONGRIE Budapest (Palace of Arts, Festival Theater) ISRAEL Haifa (Haifa Auditorium, The Israeli Opera) Jerusalem (Herover Theatre) Tel Aviv (Cinerama, Performing Arts Center) ITALIE Ancona (Festival de Polverigi) Bari (Teatro Petruzelli) Ferrara (Teatro di Communale) Gênes (Teatro Gustavo Modena) Milan (Teatro dell’Elfo, Teatro di Porta Romana) Rome (Sistina, Teatro Argentina, Teatro Olimpico) Torino (Lavanderia a vapore) Turin (Teatro Regio) JAPON Aizu (Aizu Fuga-do Theater, Fukushima Prefecture) Chiga (Biwako Hall) Kochi (Kochi Prefecture Museum Hall) Oita (Oita Oasis 21) Otsu City (Shiga Biwako Hall) Saitama (Saitama Arts Theater) Tokyo (Orchard Hall) LUXEMBOURG Luxembourg (Grand Théâtre de la Ville) MEXIQUE Mexico (Sala Miguel Covarrubias, Palacio Bella Artes) PAYS-BAS Amersfoort (C. C. de Flint) Amsterdam (De MerrvarT, Stadsschouwburg, Het Muziektheater) Arnhem (Schouwburg) Dordrecht (Schouwburg Kustmin) Eindhoven (Stadsschouwburg) Enschede (Twentse Schouwburg) Gröningen (Martinihalcentrum, Stadsschouwburg) Maastricht (Theater aan het Vrijthof) La Haye (Lucent Danstheater) Leeuwarden (SSB De Harmonie) Rotterdam (Staadsschouwburg) Sittard (C.C. De Stadsschouwburg) Tilburg (Schouwburg Tilburg, Theaters Tilburg) Utrecht (Staadsschouwburg) Zoetermeer (Stadstheater) PORTUGAL Lisbonne (Centro cultural de Belém) Porto (Teatro Rivoli) RÉPUBLIQUE TCHÈQUE Prague (State Opera Prague) ROYAUME-UNI Birmingham (Hippodrome) Bristol (Arnolfini Theatre) Édimbourg (Edinburgh Playhouse, Festival Theatre) Glasgow (King’s Theatre) Leicester (Phoenix Theatre) Leeds (Grand Theatre) Londres (Riverside Studios, Institute of Contemporary Arts, Town & Country Club, Sadler’s Wells, Royalty Theatre) Manchester (Royal North College of Music, Manchester Festival) Northampton (Derngate) Salford Lowry (The Lowry) RUSSIE Moscou (Gorky Theatre, The Kremlin Palace) Saint-Pétersbourg (Alexandrinsky Theater) SERBIE Belgrade (Sava Center) SINGAPOUR Singapour (Esplanade Theatre) SLOVÉNIE Ljubljana (Cankarjev Dom, Linhart Hall) SUÈDE Stockholm (Dansens Hus) Göteborg (Stadsteatern) SUISSE Bâle (Teater Basel) Berne (Dampfzentrale Berne) Genève (Le Bâtiment des Forces Motrices) Neuchâtel (Théâtre du Passage) Zurich (Werfthalle, Theater 11)
mercredi 2 septembre 2015
Monde de la danse : Quatre morts
Johan Renvall
Danseur étoile à l'American Ballet Theater, à 55 ans
Blondell Cummings
à 70 ans
(il s'agit de Meredith Monk)
Albert Evans
Danseur étoile au New York City Ballet, à 46 ans
Bruxelles - 1ère édition de la Brussels Contemporary Dance Competition (BCDC)
Photo Emilie De Roo
L’asbl Art We Breathe organise la première édition du Brussels Contemporary Dance Competition qui aura lieu à partir du mois de novembre 2015 jusqu'en mars 2016.
Brussels Contemporary Dance Competition est un concours de danse contemporaine, et plus précisément un concours de solo destiné à la découverte et à la promotion de jeunes danseurs talentueux de 17 à 21 ans.
Le concours se déroule en quatre temps :
—— une sélection vidéo en novembre 2015.
—— une deuxième sélection pendant le week-end du 23 et 24 Janvier 2016 au Centre d’Art Contemporain du Mouvement de la Ville de Bruxelles - Les Brigittines, Bruxelles.
—— Les workshops et les séances de coaching individuels pour les finalistes auront lieu pendant le week-end du 20 et 21 février 2016 dans les studios de danse des humanités artistiques de Laeken, au Kunsthumaniora Brussel, Bruxelles.
—— La finale aura lieu le dimanche 13 Mars 2016 dans la Salle Musique de chambre du Palais des Beaux-Arts, à BOZAR, Bruxelles.
—— une sélection vidéo en novembre 2015.
—— une deuxième sélection pendant le week-end du 23 et 24 Janvier 2016 au Centre d’Art Contemporain du Mouvement de la Ville de Bruxelles - Les Brigittines, Bruxelles.
—— Les workshops et les séances de coaching individuels pour les finalistes auront lieu pendant le week-end du 20 et 21 février 2016 dans les studios de danse des humanités artistiques de Laeken, au Kunsthumaniora Brussel, Bruxelles.
—— La finale aura lieu le dimanche 13 Mars 2016 dans la Salle Musique de chambre du Palais des Beaux-Arts, à BOZAR, Bruxelles.
Les participants peuvent s'inscrire sur le site Web du concours à partir du 1er septembre 2015 jusqu’au 31 octobre 2015. > www.brussels-cdc.be
mardi 1 septembre 2015
Jean Rochefort, 85 ans
Jean Rochefort, Photo DR
La mort vous fait peur ?
Jean Rochefort : Je la sens venir, et il y a des moments où je suis content qu'elle arrive. Le corps le demande, et la tête parfois aussi. Mais on n'a pas envie de faire du chagrin aux autres. (source : jdd)
Interview donnée à l'occasion de la sortie du film Floride. où Jean Rochefort joue un homme qui commence sa route sur le chemin de la maladie d'Alzheimer.
Interview donnée à l'occasion de la sortie du film Floride. où Jean Rochefort joue un homme qui commence sa route sur le chemin de la maladie d'Alzheimer.