Le président intérimaire du Brésil, Michel Temer, a provoqué un tollé parmi les intellectuels, vendredi 13 mai, avec la fusion des ministères de l’éducation et de la culture. « Un recul », pour le cinéaste Carlos Diegues. Ce portefeuille avait été créé à la fin de la dictature militaire (1964-1985) par l’ancien président José Sarney, écrivain et académi-cien. Le seul qui avait osé le supprimer fut l’ultralibéral Fernando Collor de Mello (1990-1992), premier chef d’Etat à avoir fait l’objet d’une procédure d’impeachment (destitution).
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