Le concours Danse élargie est une initiative de Boris Charmatz pour le Musée de la Danse - Centre Chorégraphique National de Rennes et de Bretagne et d'Emmanuel Demarcy-Mota pour le Théâtre de la Ville à Paris. Il se déroule au Théâtre de la Ville, tous les deux ans en juin un week-end. Il se veut ouvert à « des artistes de toutes les générations et de toutes disciplines. » La règle est simple : présenter une pièce de 10 minutes maximum, composée de 3 interprètes minimum. Vingt pièces sont proposées.
En 2014, 319 dossiers de 37 pays ont été reçus. Pour l'édition 2016, 480 dossiers ont été réceptionnés (soit une augmentation de plus de 50 %) provenant de 50 pays. 34 ont été retenus.
PASSAGE PAR SÉOUL CETTE ANNÉE
Danse élargie à Séoul avant Paris cette année : un visuel et les lauréats
L'Année de la Corée du Sud en France a été l'occasion d'une première partie du concours organisée à Séoul les 11 et 12 juin au LG Arts Center, où ont été présentés 17 projets ICI, et dont il ressort quatre lauréats (1er prix du jury : Jeong Seyoung pour Deus Ex Machina (Corée du Sud) [Formation exerce (initiée en 1998 par Mathilde Monnier, au sein du Centre chorégraphique national de Montpellier Languedoc-Roussillon (CCN MLR))], 2° prix du jury : Samuel & Mathieu Joseph et Jeff Armand pour Libre sans toi-t (Île Maurice), 3° prix du jury : Gaétan Bulourde pour Spoiled Spring : There are no more seasons (Belgique), Prix du jury spectateur : Chien-Hao Chang pour Bout (Taïwan)).
EN 2016, DANSE ÉLARGIE REPREND DES COULEURS
Une seconde partie du concours se poursuit dans la capitale française, où dix-sept autres projets sont invités à se présenter (voir la liste et les photos ci-dessous) les 17 et 18 juin.
À Paris, après une première édition 2010 prometteuse, les seconde et troisième éditions furent décevantes, artistiquement parlant (officiellement 2014 « fut un succès au-delà de toute attente » de par le grand nombre de dossiers déposés, « un jury international composé d'artistes de grande renommée et de toutes disciplines », les « centaines d'interprètes sur la scène du Théâtre de la Ville » et les 1800 spectateurs).
Surprise : en 2016 la manifestation reprend des couleurs (artistiques).
Mais il faut nuancer : côté négatif, on notera la place majoritaire, statistiquement parlant, des propositions sans grand intérêt, trop propres, fades et vides, de gentils Blancs, — dont on se demande avec une certaine inquiétude sinon angoisse la relation qu'ils entretiennent avec le monde, avec le réel (il y a bien une tentative dans une proposition de traiter de la réalité, mais elle demeure anecdotique), — que nous qualifierons de Danse de Surface (DS). Ou alors faudrait-il parler d'une Danse Blanche (DB) ? Une « Danse ethnique » nous souffle un professionnel paisible en souriant ? D'ailleurs, à l'exception d'une pièce qui mixe des Français et des Coréens du Sud, les Blancs demeurent entre eux (c'est un Blanc qui rédige ces lignes). Pas de mélange. Peu de couleurs.
C'est aussi ou d'abord la responsabilité du « comité de sélection [des projets retenus], composé de membres des équipes du Musée de la danse, du LG Arts Center et du Théâtre de la Ville, [qui] a longuement et soigneusement étudié chaque projet. »
À l'inverse, ils manifestent la diversité de la France à eux seuls (sur 17 pièces) : Johanna Faye & Mustapha Saïd Lehlouh (et, discrètement, l'espace étant plongé dans l'obscurité totale sauf à la fin, quelques secondes, Pauline Corvellec). Par ailleurs, le Syrien réfugié en France Mithkal Alzghair a fait une partie de ses études ici. Deux, c'est peu.
Les bonnes surprises n'en sont que plus éclatantes. Déplacement du Syrien Mithkal Alzghair, un trio d'hommes, est un choc bienvenu. Ils sont seuls. Ils entrent comme par mégarde par la droite du plateau, vide, habillés de façon fort simple (pantalon sombre et T-shirt blanc). Un d'eux porte une serviette blanche avec une certaine solennité, qu'il va poser au sol. Leur regard se portent vers nous. Et ils lèvent les bras. Comme si ils étaient en joue. Les gestes sont d'un dépouillement et d'une simplicité bouleversantes. Pas de musique ou de bande son. Le silence. Pas d'effet de lumière/s. Pas de pathos. Des faits, pourrait-on écrire. Plutôt que de dénoncer, le chorégraphe énonce. Le réel. Ce sont des hommes. Mais en même temps il y a un côté personnages de bande dessinée. Ils vont engager une danse (populaire) minimale, à partir du bas du corps, comme si de rien n'était. À la fin, ils vont se disperser doucement dans l'immensité de l'espace plongé dans une pénombre relative, dans une abstraction stupéfiante.
Déplacement parlerait d'abord de ceux qui sont partis, qui sont devenus des réfugiés. Il est cependant difficile de ne pas y voir aussi ceux qui restent.
À la demande de la directrice du studio Le Regard du Cygne, à Paris, Amy Swanson Salmon, un jeune garçon de dix ans, Victor, a donné son ressenti :
Après deux créations en Syrie, Mithkal Alzghair vient en France en novembre 2009. Il a alors 29 ans, bientôt 30. La révolution de mars 2011 va changer la donne, rentrer au pays devenant beaucoup trop dangereux. Il obtient le statut de réfugié politique.
Il va étudier à exerce, formation initiée en 1998 par Mathilde Monnier, au sein du Centre chorégraphique national de Montpellier Languedoc-Roussillon (CCN MLR), de 2011 à 2013.
(La)Horde est un collectif créé par Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel en 2013 à Paris. Il s'intéresse au jumpstyle. C'est un genre de musique électronique techno hardcore qui apparaît à la fin des années 90 aux Pays-Bas et en Belgique, qui associe une forme de danse pratiquée lors de fêtes underground. Le mouvement va se diffuser mondialement. Du côté d'internet on trouve de courtes vidéos d'une personne ou d'un groupe dansant dans l'espace privé ou public.
L'intérêt pour cette danse se développe en trois temps : la création de Avant les gens mourraient pour l'Ecole de Danse Contemporaine de Montréal (EDCM) en 2014, le court métrage de 16 minutes Novaciéries ICI présenté dans les festivals (de cinéma, mais pas seulement) en 2015, et aujourd'hui To Da Bone en 2016.
Le titre de la pièce, To Da Bone — en français, Jusqu'à l'os — associe de l'argot anglais, To Da (pour To The), à de l'anglais, la norme linguistique et son contraire. Les interprètes se connaissent depuis longtemps, mais ne s'étaient jamais rencontrés physiquement. Ils sont dix, huit jeunes hommes et deux jeunes femmes, qui ont adopté le look normcore : baskets, pantalon plutôt jean 501 (pas trop serré et pas trop large) et une veste de sport (ici, colorée). On lit sur internet qu'il s'agit d'« une esthétique de la normalité » et de « non-style ». (La)Horde aurait souhaité associer des performers afro-états-uniens et indonésiens, mais cela n'a pas été possible, et nous voici avec dix Blancs. Ils ont conscience que c'est problématique.
Le groupe, compact, est en mouvement dans une mécanique sans fin, d'où un individu sort un temps, pour revenir dans la meute tout aussi mécaniquement. C'est réussi, un peu trop « viril » au sens où tout cela porte une agressivité certaine. Cette discipline peut faire penser à un entrainement de militaires ou de néo-nazis. À la fin on se dit qu'après la représentation ils vont tous aller « casser du pédé. » L'esthétique jumpstyle est en fait plurielle : sur internet, les vidéos sont bon enfant, souriantes et détendues, le film Novaciéries suggère la désolation, To Da Bone la potentialité d'une confrontation future violente. En leur remettant le deuxième prix du jury, Vincent Macaigne expliquait : « Ce qu'on a récompensé est vraiment très beau, parce que ça nous a parlé d'une forme de colère qu'il peut y avoir en Europe. Il y avait une sorte d'énergie à nos yeux tribale, politique et contemporaine. On a aussi voulu féliciter le travail de recherche de danse. » Mais on peut percevoir cette énergie comme régressive, et dangereuse. Il existe un danger à trop l'esthétiser. La montrer est une chose, expliquer les conditions socio-historiques qui rendent possibles son apparition en est une autre, plus difficile, plus ambitieuse et plus nécessaire. Au cinéma on dirait que tout cela est un problème de cadrage : le spectre est large entre la dénonciation et l'accord, en passant par le constat qui se veut neutre. (La)Horde défend le droit à un « regard non autoritaire ». Mais il nous semble que la réflexion sur le cadrage doit se poursuivre, en dissipant l'ambiguité.
Johanna Faye & Mustapha Saïd Lehlouh ont présenté FACT. La ville en est le sujet principal : son patrimoine, ses mutations, ses espaces, les déplacements et les trajectoires de ses habitants, les mouvements de masse et les mouvements de foule. Ils ont recruté des interprètes aux formations diverses : deux danseurs jazz contemporain, quatre danseurs hip hop et un danseur électro. Les chorégraphes présentent des corps chargés d'énergie dans une écriture élégante. Cette croyance dans les potentialités du corps n'est pas si fréquente et doit être saluée. La prise de parole sur scène est encore maladroite mais les deux chorégraphes comprennent et progressent vite.
Surprise : en 2016 la manifestation reprend des couleurs (artistiques).
DANSE DE SURFACE ET DANSE BLANCHE
Mais il faut nuancer : côté négatif, on notera la place majoritaire, statistiquement parlant, des propositions sans grand intérêt, trop propres, fades et vides, de gentils Blancs, — dont on se demande avec une certaine inquiétude sinon angoisse la relation qu'ils entretiennent avec le monde, avec le réel (il y a bien une tentative dans une proposition de traiter de la réalité, mais elle demeure anecdotique), — que nous qualifierons de Danse de Surface (DS). Ou alors faudrait-il parler d'une Danse Blanche (DB) ? Une « Danse ethnique » nous souffle un professionnel paisible en souriant ? D'ailleurs, à l'exception d'une pièce qui mixe des Français et des Coréens du Sud, les Blancs demeurent entre eux (c'est un Blanc qui rédige ces lignes). Pas de mélange. Peu de couleurs.
C'est aussi ou d'abord la responsabilité du « comité de sélection [des projets retenus], composé de membres des équipes du Musée de la danse, du LG Arts Center et du Théâtre de la Ville, [qui] a longuement et soigneusement étudié chaque projet. »
À l'inverse, ils manifestent la diversité de la France à eux seuls (sur 17 pièces) : Johanna Faye & Mustapha Saïd Lehlouh (et, discrètement, l'espace étant plongé dans l'obscurité totale sauf à la fin, quelques secondes, Pauline Corvellec). Par ailleurs, le Syrien réfugié en France Mithkal Alzghair a fait une partie de ses études ici. Deux, c'est peu.
DE BONNES SURPRISES
Les bonnes surprises n'en sont que plus éclatantes. Déplacement du Syrien Mithkal Alzghair, un trio d'hommes, est un choc bienvenu. Ils sont seuls. Ils entrent comme par mégarde par la droite du plateau, vide, habillés de façon fort simple (pantalon sombre et T-shirt blanc). Un d'eux porte une serviette blanche avec une certaine solennité, qu'il va poser au sol. Leur regard se portent vers nous. Et ils lèvent les bras. Comme si ils étaient en joue. Les gestes sont d'un dépouillement et d'une simplicité bouleversantes. Pas de musique ou de bande son. Le silence. Pas d'effet de lumière/s. Pas de pathos. Des faits, pourrait-on écrire. Plutôt que de dénoncer, le chorégraphe énonce. Le réel. Ce sont des hommes. Mais en même temps il y a un côté personnages de bande dessinée. Ils vont engager une danse (populaire) minimale, à partir du bas du corps, comme si de rien n'était. À la fin, ils vont se disperser doucement dans l'immensité de l'espace plongé dans une pénombre relative, dans une abstraction stupéfiante.
Déplacement parlerait d'abord de ceux qui sont partis, qui sont devenus des réfugiés. Il est cependant difficile de ne pas y voir aussi ceux qui restent.
À la demande de la directrice du studio Le Regard du Cygne, à Paris, Amy Swanson Salmon, un jeune garçon de dix ans, Victor, a donné son ressenti :
Après deux créations en Syrie, Mithkal Alzghair vient en France en novembre 2009. Il a alors 29 ans, bientôt 30. La révolution de mars 2011 va changer la donne, rentrer au pays devenant beaucoup trop dangereux. Il obtient le statut de réfugié politique.
Il va étudier à exerce, formation initiée en 1998 par Mathilde Monnier, au sein du Centre chorégraphique national de Montpellier Languedoc-Roussillon (CCN MLR), de 2011 à 2013.
Après le studio Le Regard du Cygne à Paris les 24 et 25 mars 2016, Déplacement sera présenté :
— à Berlin (Allemagne) dans le cadre de Tanz im August les 2 et 3 septembre ICI
— Onassis cultural center à Athènes (Grèce) les 26 et 27 octobre
— Goethe institut à Bratislava dans le cadre du Nu Dance Festival ICI (Slovaquie) le 16 novembre
— Les Treize Arches – scène conventionnée à Brive-la-Gaillarde ICI le 26 novembre
— Goethe institut à Bratislava dans le cadre du Nu Dance Festival ICI (Slovaquie) le 16 novembre
— Les Treize Arches – scène conventionnée à Brive-la-Gaillarde ICI le 26 novembre
— Louvre-Lens ICI le 22 janvier 2017
— Le Vivat à Armentières dans le cadre de Vivat la danse ! 20 ans en 2017 le 25 janvier 2017 ICI
— Le Vivat à Armentières dans le cadre de Vivat la danse ! 20 ans en 2017 le 25 janvier 2017 ICI
— Centre de Développement Chorégraphique (CDC) de Toulouse ICI les 27 et 28 janvier 2017
La version solo de Déplacement dansée par Mithkal Alzghair sera visible lors du Festival d'Avignon Off dans le cadre de la Belle Scène Saint-Denis (cf. notre La Danse au Festival d'Avignon 2016 OFF) du 16 au 22 juillet à 10h, à A Corner in the World - Istanbul Independent Performing Arts Festival ICI (1-10 octobre) en Turquie le 6 octobre — qui sera consacré aux travaux en provenance du Moyen-Orient — et pendant les Petites Scènes Ouvertes ICI au Centre de Développement Chorégraphique (CDC) Le Cuvier à Artigues-près-Bordeaux le 1er décembre.
* * *
JumpStyle HardJump Shuffle @ Berlin HardStyle Germany, Alexanderplatz
(La)Horde est un collectif créé par Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel en 2013 à Paris. Il s'intéresse au jumpstyle. C'est un genre de musique électronique techno hardcore qui apparaît à la fin des années 90 aux Pays-Bas et en Belgique, qui associe une forme de danse pratiquée lors de fêtes underground. Le mouvement va se diffuser mondialement. Du côté d'internet on trouve de courtes vidéos d'une personne ou d'un groupe dansant dans l'espace privé ou public.
L'intérêt pour cette danse se développe en trois temps : la création de Avant les gens mourraient pour l'Ecole de Danse Contemporaine de Montréal (EDCM) en 2014, le court métrage de 16 minutes Novaciéries ICI présenté dans les festivals (de cinéma, mais pas seulement) en 2015, et aujourd'hui To Da Bone en 2016.
Le titre de la pièce, To Da Bone — en français, Jusqu'à l'os — associe de l'argot anglais, To Da (pour To The), à de l'anglais, la norme linguistique et son contraire. Les interprètes se connaissent depuis longtemps, mais ne s'étaient jamais rencontrés physiquement. Ils sont dix, huit jeunes hommes et deux jeunes femmes, qui ont adopté le look normcore : baskets, pantalon plutôt jean 501 (pas trop serré et pas trop large) et une veste de sport (ici, colorée). On lit sur internet qu'il s'agit d'« une esthétique de la normalité » et de « non-style ». (La)Horde aurait souhaité associer des performers afro-états-uniens et indonésiens, mais cela n'a pas été possible, et nous voici avec dix Blancs. Ils ont conscience que c'est problématique.
Le groupe, compact, est en mouvement dans une mécanique sans fin, d'où un individu sort un temps, pour revenir dans la meute tout aussi mécaniquement. C'est réussi, un peu trop « viril » au sens où tout cela porte une agressivité certaine. Cette discipline peut faire penser à un entrainement de militaires ou de néo-nazis. À la fin on se dit qu'après la représentation ils vont tous aller « casser du pédé. » L'esthétique jumpstyle est en fait plurielle : sur internet, les vidéos sont bon enfant, souriantes et détendues, le film Novaciéries suggère la désolation, To Da Bone la potentialité d'une confrontation future violente. En leur remettant le deuxième prix du jury, Vincent Macaigne expliquait : « Ce qu'on a récompensé est vraiment très beau, parce que ça nous a parlé d'une forme de colère qu'il peut y avoir en Europe. Il y avait une sorte d'énergie à nos yeux tribale, politique et contemporaine. On a aussi voulu féliciter le travail de recherche de danse. » Mais on peut percevoir cette énergie comme régressive, et dangereuse. Il existe un danger à trop l'esthétiser. La montrer est une chose, expliquer les conditions socio-historiques qui rendent possibles son apparition en est une autre, plus difficile, plus ambitieuse et plus nécessaire. Au cinéma on dirait que tout cela est un problème de cadrage : le spectre est large entre la dénonciation et l'accord, en passant par le constat qui se veut neutre. (La)Horde défend le droit à un « regard non autoritaire ». Mais il nous semble que la réflexion sur le cadrage doit se poursuivre, en dissipant l'ambiguité.
Johanna Faye & Mustapha Saïd Lehlouh ont présenté FACT. La ville en est le sujet principal : son patrimoine, ses mutations, ses espaces, les déplacements et les trajectoires de ses habitants, les mouvements de masse et les mouvements de foule. Ils ont recruté des interprètes aux formations diverses : deux danseurs jazz contemporain, quatre danseurs hip hop et un danseur électro. Les chorégraphes présentent des corps chargés d'énergie dans une écriture élégante. Cette croyance dans les potentialités du corps n'est pas si fréquente et doit être saluée. La prise de parole sur scène est encore maladroite mais les deux chorégraphes comprennent et progressent vite.
PRIX ESPACES MAGNÉTIQUES
Quoiqu'il puisse arriver (nous écrivons avant la remise des prix), nous avons décidé, comme en 2014 ICI, d'attribuer les PRIX ESPACES MAGNÉTIQUES :
— Premier Prix : Mithkal Alzghair Déplacement SYRIE / TURQUIE
— Deuxième Prix : COLLECTIF (LA)HORDE Marine Brutti - Jonathan Debrouwer - Arthur Harel TO DA BONE FRANCE / QUÉBEC / HONGRIE / PAYS-BAS / POLOGNE / UKRAINE
— Troisième Prix : Johanna Faye & Mustapha Saïd Lehlouh FACT FRANCE
PRIX DANSE ÉLARGIE
— Premier Prix du Jury :
Mithkal Alzghair Déplacement SYRIE / TURQUIE
— Deuxième Prix du Jury :
COLLECTIF (LA)HORDE Marine Brutti - Jonathan Debrouwer - Arthur Harel
TO DA BONE FRANCE / QUÉBEC / HONGRIE / PAYS-BAS / POLOGNE / UKRAINE
TO DA BONE FRANCE / QUÉBEC / HONGRIE / PAYS-BAS / POLOGNE / UKRAINE
— Troisième Prix du Jury :
Lyon-Eun Kwon Glory CORÉE DU SUD
— Prix du Jury de spectateurs :
Eirini Papanikolaou Anthemoessa GRÈCE
— Prix du Jury de spectateurs avec mention spéciale :
Lyon-Eun Kwon Glory CORÉE DU SUD
— Prix de la Technique :
Eirini Papanikolaou Anthemoessa GRÈCE
Fabien RivièreOn peut lire nos articles :
Le concours Danse élargie 2010 en photos
Photos et Analyses- 3° édition du concours Danse élargie 2014
Concours Danse élargie : que donne la cuvée 2015 ?
DEUX JURYS :
— Un « jury d'artistes » (avec Eun-Me AHN directrice artistique de Eun-me Ahn company, chorégraphe, performeuse CORÉE DU SUD, Lee Bul plasticienne CORÉE DU SUD, Lucinda Childs chorégraphe USA, Tiago Guedes chorégraphe, directeur du théâtre municipal de Porto-Rivoli et Campo Alegre PORTUGAL, Young-Kyu Jang musicien CORÉE DU SUD, Vincent Macaigne acteur, metteur en scène FRANCE, Dorothée Munyaneza musicienne, chorégraphe, comédienne FRANCE/RWANDA) au nombre de sept.
— Un « jury de (neuf) spectateurs. »
— Un « jury de (neuf) spectateurs. »
VIDÉOS des projets sélectionnés sur Numéridanse.tv ICI
Sur les 17 projets proposés samedi,
il demeure 10 Finalistes présentés dimanche, notés F
Nous avons fait précéder les propositions les + intéressantes de
SAMEDI 18 juin —
11h30 - 13h
1. Marion Schoevaert, Violaine Schwartz & Annamirl Van Der Pluijm
MOLOCH CORÉE DU SUD / FRANCE
2. Laurent Cèbe Les gens qui doutent FRANCE F
3. Eirini Papanikolaou Anthemoessa GRÈCE F
4. Johanna Faye & Mustapha Saïd Lehlouh FACT FRANCE F
5. DAL project Erase the moon CORÉE DU SUD F
6. Pauline Corvellec BLACK AND LIGHT FRANCE F
Capture d'écran Espaces Magnétiques
14h15 - 15h457. COLLECTIF (LA)HORDE Marine Brutti - Jonathan Debrouwer - Arthur Harel TO DA BONE FRANCE / QUÉBEC / HONGRIE / PAYS-BAS / POLOGNE / UKRAINE F
8. Jean Hostache & Garance Silve Le Sacre du printemps FRANCE
9. Mithkal Alzghair Déplacement SYRIE / TURQUIE F
10. Cie Popùliphonia - Romain Pichard Blue Monday FRANCE F
11. Lyon-Eun Kwon Glory CORÉE DU SUD F
12. Paul Changarnier - Collectif A/R h o m e FRANCE
16h - 17h15
13. ATELIER 37.2 GRAFT, danse d’une espèce à venir FRANCE / ITALIE / CANADA
14. Maud Blandel TOUCH DOWN SUISSE / BELGIQUE / PORTUGAL F
15. Jasmina Krizaj & Cristina Planas Leitão The Very Delicious Piece XL
PORTUGAL / SLOVÉNIE F
16. Christos Papadopoulos - Leon and Wolf company OPUS GRÈCE
17. Pierre Piton Capillotractée SUISSE / LITUANIE
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