Toulouse - Journée d'études : Corps en guerre dans les arts: de la plaie à la cicatrice - 20 mai 2016


Lecomte de Nouy, Mort pour la patrie, 1892, Musée des Beaux-Arts d’Angers 

VENDREDI 20 MAI 2016
Organisé par le laboratoire LLA-CREATIS En savoir +

9h Accueil et Ouverture de la journée
Hélène BEAUCHAMP, Renaud BRET-VITOZ, Mireille RAYNAL-ZOUGARI

9h15 Pascale CHIRON, Maîtresse de conférences en Littérature Française, UT2J 
Le corps supplicié de la France au temps des guerres de religion

10h Florence FIX, Professeure en Littératures et Arts de la modernité, Université de Nancy :
Le corps d’armée blessé(e) : représentations fin de siècle des grognards

10h45 Pause

11h Odile ROYNETTE, Maîtresse de conférences HDR en histoire contemporaine, Université de Bourgogne-Franche-Comté :
Les écritures de la blessure de guerre : le cas Céline

11h45 Mireille RAYNAL-ZOUGARI, Maîtresse de conférences en Etudes Visuelles et Etudes Cinématographiques, UT2J :
Corps abîmé dans l’image, corps réparé par le film

12h30 Déjeuner

14h Olivier ERNEST, ATER, Département de Français, Mary Immaculate College, Limerick (Irlande) :
La perception du corps blessé et mutilé dans Les Chevaux du soleil de Jules Roy

14h45 Karine SAROH, Doctorante Art&Com, UT2J :
Le corps en situation de handicap physique dans une scène de guerre comme image du peuple opprimé dans La Mort de Klinghoffer de John Adams et Alice Goodman

15h30 Flore GARCIN-MARROU, Maîtresse de conférences en Etudes Théâtrales, UT2J
Les fonctions possibles du théâtre dans le récent courant critique des Trauma Studies 

16h15 Débat et fin de la journée

jeudi 25 février 2016

Simon Tanguy parle le « inging »

Simon Tanguy dans inging, Photo Fabien Rivière ©

Lors de la 38° édition des Hivernales à Avignon, Simon Tanguy présente au Théâtre du Chêne Noir sa nouvelle création, un solo qu'il interprète, inging. La scène ne sera pas utilisée, restant plongée dans le noir. Il occupe la salle de cet ancien garage, un espace rectangulaire vide, aux murs de pierres, au sol recouvert d'un linoleum vert. On y trouve des chaises pliables rouges pour les spectateurs et une petite table en bois, sur laquelle sont posés une pile de livres à gauche et un MacBook Air à droite. Une caméra filme le performer, installée en face de lui, au niveau des ouvrages. Devant, au sol, un vidéo projecteur envoie sur le mur de gauche d'autres images (muettes) de lui-même assis à une table, dans trois situations différentes.

Simon Tanguy accueille le public debout et mobile, affable : « Bonjour ! », « Vous pouvez vous mettre là », « Vous n’êtes pas obligés d’être en cercle (autour de moi) », « Vous pouvez prendre les chaises à votre droite », « On attend un peu, ça va ? ». Un professionnel répond : « Vous inquiétez pas, je sais faire tout seul ». Les spectateurs se détendent, osent un « Vous n’avez plus de plâtre ? ». C’est qu’en effet, il avait joué en juillet dernier en Avignon dans le cadre des Sujets à Vif avec une attelle, allongé sur un lit médicalisé, s’étant blessé lors de la représentation du trio Gerro, Minos and Him à Beyrouth (Liban). 

Il s’assoit devant la table, et commence à parler. Ce qu’il ne va pas cesser de faire pendant 45 minutes. Assez vite, il va expliquer cette règle du jeu. Pas de texte écrit à lire ou à réciter, et changer de sujet souvent. Il débute aussi par rendre compte du titre de la pièce : inging réfère au suffixe anglais ing qui est utilisé pour des actions en train de se dérouler. Il ira sous la table, sur la table, et se déplacera dans l'espace, pour revenir à cette table. Il n’y aura pas de musique.  

Simon Tanguy dans inging, Photo Fabien Rivière ©

Au début, on est inquiet. C’est que, la veille, nous avons fait l’expérience opposée de deux pièces où la parole est très présente : Traduction, de deux étudiants de la formation supérieure de danse exerce à Montpellier, et Vers un protocole de conversation ? du Marseillais Georges Appaix. La première était bavarde, creuse, et pseudo-intellectuelle, la seconde spirituelle et délicieuse. On craint un instant de revivre la première expérience. 

Il faut préciser aussi que les jeunes gens qui sortent des écoles supérieures en danse en France, Belgique, Allemagne, Pays-Bas et Suisse manifestent un fort attrait pour la mise en place d'un processus, qui ne réfère qu'à lui-même, dans une démarche très mentale mais aussi malheureusement le plus souvent assez ennuyeuse, sauf exception (comme Removing du Français Noé Soulier). 

À l’origine, inging est une création de la New Yorkaise Jeanine Durning, que Simon Tanguy découvre en 2010 à Amsterdam, — où il étudiait à la School for New Dance Development (SNDO), autre école supérieure de danse, — et qui le fascine. En 2013, elle lui transmet la pièce à Rennes (France). En 2016 la voici jouée par le Français sous son seul nom. Mais pourquoi la pièce n’est-t-elle pas co-signée « Simon Tanguy et Jeanine Durning » 

Donc, ça parle. Un flux régulier de parole, rythmé. Mais ça respire aussi. La diction est bonne. C'est sobre, et clair. Pas d'attitude de surplomb, pas de prétention, pas de cabotinage ou de pathos. Nous voici embarqués. Dans un cadre tenu, la parole peut larguer les amarres. L'association libre permet de subvertir les conventions et censures de la parole commune ou bourgeoise. Les différents niveaux de consciences s'entrecroisent. L'histoire (personnelle, et universelle). La géographie. Aussi bien « la grosse langue velue », « la colonne vertébrale qui fait des vagues », que le génocide de la dernière guerre mondiale. À travers cette polyphonie, émerge, aux meilleurs moments, l'humanité d'un homme mise à nue. Et voici Simon Tanguy comme dépassé par sa création - créature. 

mercredi 24 février 2016

Tribune - Juger les Femen pour «exhibition sexuelle», c’est pervertir la loi

Action d'une Femen sur la voiture de DSK 

Par Edith Cresson, Ancienne première ministre, Erri de Luca, Ecrivain, Taslima Nasreen, Écrivaine, Alain Touraine, Sociologue, Adonis, Poète, Eve Ensler, Ecrivaine et scénariste, Rosen Hircher, Survivante, Georges Kiejman, Avocat et ancien ministre, Jean-Marie Larrieu, Cinéaste et Agnès Jaoui, Actrice et réalisatrice 

Libération, 22 février 2016

Trois membres du collectif Femen doivent comparaître pour avoir manifesté lors du procès du Carlton, au cours duquel ceux qui ont reconnu avoir eu des pratiques sexuelles violentes à l’encontre de prostituées, ont été relaxés.
Monsieur le procureur de la République, le 24 février, trois militantes du mouvement Femen comparaîtront, à la suite de votre décision, devant le tribunal de Lille pour répondre de l’accusation d’«exhibition sexuelle». Le 10 février 2015, elles avaient manifesté le torse recouvert de slogans contre la prostitution et les violences sexuelles faites aux femmes devant le palais de justice de Lille, à l’occasion du procès dit «du Carlton».

Au cours de ce procès pour proxénétisme, ceux qui ont reconnu avoir eu des pratiques sexuelles violentes à l’encontre de femmes prostituées ont été relaxés. Et ce sont finalement les militantes venues dénoncer ces violences qui sont poursuivies sur le fondement inique d’une prétendue «agression sexuelle». Les femmes seraient-elles encore et toujours coupables et jamais victimes ?  > SUITE 
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LIRE AUSSI 
« Trois mois de prison avec sursis et 1 000 euros d'amende. C'est ce qu'a requis le procureur de la République à l'encontre de trois militantes des Femen jugées ce mercredi matin à Lille pour exhibition sexuelle » Le Parisien

Spectacle vivant - Gagnants et Perdants de l'augmentation de 15 millions du budget


Télérama, 23 février 2016.
Fleur Pellerin l'avait évoqué dans son dernier discours public aux Biennales internationales du spectacle, à Nantes, le 21 janvier : en plus des 7 millions prévus pour soutenir le compagnonnage entre artistes, les résidences de création et les lieux intermédiaires, 8 millions seront consacrés aux « Ensembles musicaux et compagnies indépendantes » dans le cadre de la loi de finances 2016. Soit un budget en faveur de la création dans le spectacle vivant augmenté de 15 millions ! Sous l'égide d’Audrey Azoulay, héritière de ce projet déjà inscrit au budget, la nouvelle directrice générale de la création artistique (DGCA) Régine Hatchondo devait l'annoncer prochainement, quand un article de La Lettre du Spectacle, le 19 février dernier, a révélé en amont les contours de ce nouveau soutien.

Il s'agirait d’un dispositif ciblant des « compagnies nationales », appellation jusque-là inusitée. > SUITE

mardi 23 février 2016

Exposition de photos de danse de Thomas Bohl


(du haut vers le bas) Jean-Sébastien Lourdais, La Chambre anéchoïque, Pôle culturel de Sorgues — Cie Ex Nihilo (Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot), Amalgame(s), Palais des Papes, Hivernales 2014 —  Anthony Egéa - Cie Rêvolution, Rage, Auditorium Jean Moulin, Le Thor — Salia Sanou - Cie Mouvements Perpétuels, Clameur des arènes, Théâtre Benoît XII. 

Nous avons découvert l'excellent travail du photographe professionnel Thomas Bohl lors du Festival Les Hivernales, à Avignon (France), qui se déroulait du 3 au 20 février. Une exposition de ses œuvres en noir et blanc, Inspirations, était présentée au Pixel Avignon, dont le hall était transformé en billetterie et en salle d'expo. 

Installé depuis onze ans en Avignon, Thomas Bohl nous explique qu'il a « véritablement découvert la danse il y a 3 ans de cela. Alors que je faisais du collage de photographies dans la rue, je rencontrais Emmanuel Sérafini [directeur des Hivernales] qui m'a invité à venir voir ce qu'il se passait au Centre de Développement Chorégraphique (CDC)… Une histoire qui dure depuis et nous a permis d'imaginer le dispositif Déclenche, initiation à la photographie de danse à destination de jeunes issus de centres sociaux de la ville ainsi que du centre d'insertion type mission locale. Dans ce cadre, 3 belles expositions ont été présentées aux Hivernales durant la période estivale. »
Fabien Rivière

Festival - La reprise en art : « Bis repetita placent »


What Shall We Do Next? (Sequence #2) by Julien Prévieux

« Bis repetita placent » est ce célèbre aphorisme inspiré par l’Art poétique d’Horace (circa 13 ap. J.-C.), dans lequel le poète déclare que telle œuvre ne plaira qu’une fois, tandis que telle autre répétée dix fois plaira toujours.

Le Festival « Bis repetita placent », articulé autour d’un colloque, de rencontres, de projections et de performances, propose de réfléchir sur les processus de création, de médiation et de transmission de l’art contemporain à partir de la reprise et de la figure de l’interprète, l’un des fils rouges tendus par l’exposition des œuvres de la collection « L’Effet Vertigo », à l’occasion des 10 ans du MAC VAL (Musée d'Art Contemporain du Val-de-Marne). 

Pratique historique séculaire dans les processus de création et de transmission, pourquoi ces pratiques de la reprise sont-elles pourtant si souvent questionnées, attaquées ou suspectées dans le champ de l’art ? Peut-être parce qu’elles flirtent avec l’autorité des faits historiques, l’anachronisme, le plagiat, l’aura de l’original, l’amateurisme, la répétition, la liberté de création ?  En savoir +

— MAC VAL Musée d'Art Contemporain du Val-de-Marne
            Place de la Libération, 94400 Vitry-sur-Seine
Colloque, rencontres, projections et performances 
Vendredi 1er, samedi 2 et dimanche 3 avril 2016

Entrée libre. Réservation conseillée : reservation@macval.fr 

           Vendredi 1er avril          
 Colloque > « Transmission, création, pratiques de la reprise »

10h
« De la copie au museum selfie : la puissance d’émancipation de la reprise » 
Introduction par Stéphanie Airaud, responsable des publics et de l’action culturelle au MAC VAL.

10h30
« Caramba encore raté. Réflexions à partir d’un fétiche arumbaya » 
Pierre Pinchon, maître de conférence en histoire de l’art. Aix-Marseille Université, UMR Telemme-CNRS.

11h - 13h
« La propriété intellectuelle porte-t-elle atteinte à la liberté d'expression ? » 
Table-ronde conçue et modérée par Agnès Tricoire, avocat à la cour, avec Valérie-Laure Benabou, professeur de droit, Marie Courboulay, Présidente de la 3e chambre du TGI de Paris, Marie Desplechin, écrivain, Jakob Gautel, artiste, Jacinto Lageira, professeur en esthétique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Denys Riout, historien de l’art.

L’Apologie pour le Plagiat,
Anatole France
Lecture d’Ariane Ascaride (sous réserve)

13h - 14h30 / Pause

14h30 - 15h
« All by myself, ou la reprise comme processus d'individuation »
Matthieu Saladin, artiste, musicien et maître de conférences en arts sonores à l'université Paris 8.

15h - 16h15
« La reprise, pratique de la réparation »
Discussion avec Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, artistes, animée par Sandra Delacourt, docteure en histoire de l’art, critique, enseignante à l’École supérieure des beaux-arts de Tours (TALM).

Entretien vidéo de Kader Attia, mené par Jacinto Lageira, professeur en esthétique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

16h30 - 18h
« Imitation contre invention à l’école » 
Table-ronde avec Marie-José Burki, Sylvie Fanchon, Anne Rochette, artistes, enseignantes à l’ENSBA (Paris) et Microsillons, artistes, responsables du Master TRANSmedia à la HEAD (Genève).

What Shall We Do Next? (Séquence #3)
Julien Prévieux, performance
            Samedi 2 avril            

12h - 19h
Registres
Action par Philippe Artières
Historien (CNRS, EHESS, Paris), avec Nicolas Geny, comédien.

15h
Sounds of war, 2014-2016
Léa Le Bricomte, installation performance

15h30
What Shall We Do Next? (Séquence #3)
Julien Prévieux, performance

16h
Obstacle suivant
Vincent Thomasset, performance (création)

16h
« Bis repetita », visite guidée de l’exposition des œuvres de la collection « l’Effet Vertigo »

17h
« Reprise, réactivation du geste » 
Rencontre avec Julien Prévieux et Marie Quiblier, historienne de l’art, chargée d'action culturelle au Musée de la danse (Rennes)

17h30
Variations
L’Encyclopédie de la parole, création 
Conception et performance : Frédéric Danos et Emmanuelle Lafon

            Dimanche 3 avril                 

12h - 19h
What Shall We Do Next? (Séquence #3)
Julien Prévieux, performance

15h
Sounds of war, 2014 - 2016
Léa Le Bricomte, installation performance

15h - 18h
MY WAY - Ça reprend.
Frank Lamy, action

15h - 18h
Série Ombre de lumière, Sépànd Danesh (Iran - France), performance

15h30
Le tour des danses urbaines en 10 villes     2014
Cecilia Bengolea, François Chaignaud, Ana Pi, conférence performance
Durée : 1h15 / Tout public, à partir de 10 ans Chorégraphies : Ana Pi, Cecilia Bengolea, François Chaignaud / Interprétation : Dalila Cortes ou Ana pi  Photo Pierre  Ricci

16h
« Bis repetita », visite guidée de l’exposition des œuvres de la collection « l’Effet Vertigo »

16h30
Notre danse in situ
Mylène Benoit, performance
Conception : Mylène Benoit
Interprétation : Julien Andujar, Maeva Cunci, Alexandre Da Silva, Célia Gondol, Nina Santes Assistanat artistique : Magda Kachouche 


17h30
« De retour »
Mickaël Pierson, historien de l’art

18h
GOO (Gymnastique pour Œil et Oreille)
Nicolas Fenouillat et Bruno Persat, performance
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lundi 22 février 2016

Offre d'emploi - Direction du Pacifique, Grenoble


18/02/2016
Secteur

Danse Contemporaine

Description de l'entreprise/de l'organisme

Appartenant au réseau des 12 Centres de Développement Chorégraphique, Le Pacifique est né en 2004.

L’association, propriétaire du lieu, devient bénéficiaire du label en 2007.

Le Pacifique l CDC est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication, la Région Auvergne-Rhône-Alpes, le Département de l’Isère, la Ville de Grenoble. 

Il est un point d’appui essentiel pour le développement de l’art chorégraphique dans la nouvelle grande région.

Le total du compte de résultat est de 600 000 euros en 2015.

Le CDC emploie 6 salariés permanents, soit 4,66 équivalents temps plein.

Description du poste

Responsabilité artistique : soutien à la création et accueil régulier de compagnies en résidence dans la durée, dans la diversité des esthétiques. Promotion, diffusion et valorisation de l’art chorégraphique sur le territoire régional. Soutien à la recherche et à l’expérimentation de nouvelles écritures chorégraphiques.

Activité de réseau : inscription dans des réseaux d’agglomération, nationaux et développement de projets européens. 

Responsabilité culturelle et territoriale : participation au développement et à la diffusion de la culture chorégraphique, à la réalisation de programmes d’éducation artistique et culturelle en direction des publics.

Responsabilité professionnelle : formation /insertion.

Description du profil recherché

Directrice/Directeur qui ne pourra pas être un(e) artiste en activité.

Description de l'expérience recherchée

Une expérience professionnelle dans le domaine de la danse contemporaine / 
une connaissance des courants chorégraphiques et de l’histoire de la danse /
une expérience d’encadrement d’une équipe / 
une grande rigueur de gestion / 
une expérience confirmée en matière de montage et de développement de projets artistiques et budgétaire / 
une sensibilité aux enjeux du développement du territoire et du développement des publics / 
une capacité avérée au travail en réseau et à établir des partenariats de projets dynamiques 
une connaissance des réseaux et des acteurs de la danse sur le plan national et international.

Date de prise de fonction

01/09/2016

Date limite de candidature

25/03/2016

Rémunération envisagée

Selon grille de la Convention Collective et expérience

Lieu
Grenoble (38)

Adresse postale du recruteur

Madame la présidente du CDC, candidatures, 
Le Pacifique, Centre de développement Chorégraphique, 
30 chemin des Alpins, 
38100 Grenoble.

Site web de l'entreprise/de l'organisme


Informations complémentaires / renseignements

Les candidatures (lettre de motivation indiquant les axes majeurs du projet artistique et CV détaillé en français) sont à adresser avant le 25 mars 2016 en cliquant sur "Postulez" ou à l’adresse postale ci-dessus.

Les candidat(e)s qui seront pré-sélectionné(e)s devront rédiger un projet détaillé à partir d’une note d’orientation fournie, une projection budgétaire de la mise en œuvre du projet pour les 3 premières années et remettre le dossier complet au plus tard le 13 mai.
Pour plus d’informations voir le site www.pacifique-cdc.com