vendredi 10 mars 2017
jeudi 9 mars 2017
La danse dans l'exposition Picabia du MoMA
Vue de l'exposition Picabia au Museum of Modern Art (MoMA), Photos Fabien Rivière
Le Museum of Modern Art (MoMA) de New York propose une exposition Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, en français Francis Picabia: Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction, jusqu'au 19 mars (Site). Le peintre Français a vécu de 1879 à 1953.
La danse est y présente à plusieurs reprises : par un portrait de Mistinguett [1875 - 1956] (ci-dessus), chanteuse et danseuse dans le cadre de revues et actrice de théâtre et de cinéma muet. En 1909, Max Dearly la choisit comme partenaire pour créer la « valse chaloupée » dans une revue du Moulin Rouge. Puis, dans la revue La Revue, c'est La Valse renversante avec Maurice Chevalier aux Folies Bergère en 1912, qui donnera lieu à une histoire d'amour longue de dix ans. Le couple est surnommé par la presse « les danseurs obsédants » (source : Wikipedia).
Puis, un duo (ci-dessous), Danses à la source, en 1912, dont le vaste Danses à la source [II]. On a aussi observé Culture physique (1913), Catch as Catch Can (1913) et Portrait d'une jeune fille américaine dans l'état de nudité (fin de l'article).
Enfin, une œuvre se nomme Danse de Saint Guy (Tabac-Rat) (1919-20/1946-49) (ci-dessous).
Dans la catalogue de l'exposition on trouve des articles de George Baker, The Body after Cubism, de Carole Boulbès, Relâche and the music-hall, et de Jean-Jacques Lebel, Francis "Funny guy" Picabia and Entr'acte (il existe un catalogue en français, cf. ci-dessous).
Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, Museum of Modern Art (MoMA), New York, États-Unis, jusqu'au 19 mars 2017. Site
— CATALOGUE (en anglais, 75 $ [71,2 €]) Site
Francis Picabia, Untitled (Portrait of Mistinguett), c. 1909
La danse est y présente à plusieurs reprises : par un portrait de Mistinguett [1875 - 1956] (ci-dessus), chanteuse et danseuse dans le cadre de revues et actrice de théâtre et de cinéma muet. En 1909, Max Dearly la choisit comme partenaire pour créer la « valse chaloupée » dans une revue du Moulin Rouge. Puis, dans la revue La Revue, c'est La Valse renversante avec Maurice Chevalier aux Folies Bergère en 1912, qui donnera lieu à une histoire d'amour longue de dix ans. Le couple est surnommé par la presse « les danseurs obsédants » (source : Wikipedia).
La Ville de New York aperçue à travers le corps, 1913
Puis, on découvre ces titres de tableaux surprenants, La Ville de New York aperçue à travers le corps, qui date de 1913 (ci-dessus). Et, Danseuse étoile sur un transatlantique (ci-dessous), la même année.
Danseuse étoile sur un transatlantique, 1913
Puis, un duo (ci-dessous), Danses à la source, en 1912, dont le vaste Danses à la source [II]. On a aussi observé Culture physique (1913), Catch as Catch Can (1913) et Portrait d'une jeune fille américaine dans l'état de nudité (fin de l'article).
Danses à la source [I], 1912
Danses à la source [II], 1912
Un peu plus tard, on redécouvre le Ciné-Théâtre-Danse de 1924 (ci-dessous), quand Picabia collabore aux Ballets Suédois de Rolf de Maré et Jean Börlin, le compositeur Erik Satie l'ayant contacté. Cela donnera Relâche : ballet instantanéiste en deux actes, un entr'acte cinématographique et "la queue du chien", dont la première a lieu le 4 décembre 1924. Rolf de Maré est un collectionneur d'art et mécène de la danse suédois né à Stockholm en 1888 et mort à Barcelone en 1964 à 75 ans. Il est le fondateur des Ballets suédois en 1920 et des Archives internationales de la danse en 1932. Jean Börlin est un danseur et chorégraphe suédois né à Härnösand en 1893 et mort à New York le 6 décembre 1930 à 37 ans, emporté par la maladie.
(ci-dessus) Études pour Relâche
(ci-dessus) Rolf de Maré, (ci-dessous) Jean Börlin
Enfin, une œuvre se nomme Danse de Saint Guy (Tabac-Rat) (1919-20/1946-49) (ci-dessous).
Danse de Saint Guy (Tabac-Rat), Capture d'écran Espaces Magnétiques
Dans la catalogue de l'exposition on trouve des articles de George Baker, The Body after Cubism, de Carole Boulbès, Relâche and the music-hall, et de Jean-Jacques Lebel, Francis "Funny guy" Picabia and Entr'acte (il existe un catalogue en français, cf. ci-dessous).
Fabien Rivière
Photos Fabien RivièreFrancis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, Museum of Modern Art (MoMA), New York, États-Unis, jusqu'au 19 mars 2017. Site
— CATALOGUE (en anglais, 75 $ [71,2 €]) Site
— CATALOGUE (en français, juin 2016, 54,95 €) Site
Affiche de l'exposition dans le métro New Yorkais, photo Fabien Rivière
"BONUS"
Isadora Duncan, par Abraham Walkowitz, circa 1910
On trouve ce tableau représentant Isadora Duncan (1877 - 1927), peint par Abraham Walkowitz (1878, Tyumen, Russie - 1965, Brooklyn, New York City, États-Unis) autour de 1910 dans l'exposition que présente le Whitney Museum of American Art à New York (États-Unis), Human Interest: Portraits from the Whitney’s Collection, du 2 avril 2016 au 2 avril 2017 (Site).
Fabien Rivière
Photo Fabien Rivière
mercredi 8 mars 2017
Pissed Jeans, Romanticize Me + Bathroom Laughter + Boring Girls + False Jesii Part 2 + I've Still Got You
Romanticize Me, extrait du 4° album, Honeys (12/02/2013).
Bathroom Laughter, extrait du 4° album, Honey (12/02/2013).
Boring Girls, extrait de l'album remasterisé (07/10/2014) Shallow (premier album, 2005)
False Jesii Part 2, extrait du 3° album, King of Jeans (18/08/2009).
I've Still Got You (Ice Cream), extrait du 2° album, Hope for Men (05/06/2007).
Pochette de l'album Hope for Men
lundi 6 mars 2017
Photos - Walker Art Center, Minneapolis : Intérieur
Entrée principale, sur l'Hennepin Avenue (cf. aussi ci-dessous), Photos Fabien Rivière © |
À gauche en entrant, la librairie |
À droite, vers les expositions et le restaurant |
Au loin, vue du centre ville de Minneapolis, constitué principalement de bureaux, à 10 minutes en bus |
À la suite de notre article montrant l'extérieur du bâtiment remarquable qu'est le Walker Art Center à Minneapolis, au nord des États-Unis (Photos - Walker Art Center, Minneapolis : Extérieur), à l'occasion de l'exposition Merce Cunningham CO:MM:ON TI:ME, voici des vues de l'intérieur de l'édifice.
Fabien Rivière
Photos Fabien Rivière ©
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